Wo meine Ausgabe der "Fleurs du Mal" ist, mag Satan selbst wissen
Die Dinger haben irgendwie die Angewohnheit, sich aus dem Staub zu machen...

Les Plaintes d'un Icare
Les amants des prostituées
Sont heureux, dispos et repus;
Quant á moi, mes bras sont rompus
Pur avoir étreint des nuées.
C'est grâce aux astres nonpareils,
Qui tut au fond du ciel flamboient,
Que mes yeux consumés ne voient
Que des souvenirs de soleils.
En vain j'ai voulu de l'espace
Trouver la fin et le milieu;
Sous je ne sais pas quel œil de feu
Je sens mon aile qui se casse;
Et brûlé par l'amour du beau,
Je n'aurai pas l'honneur sublime
De donner mon nom á l'abime
Qui me servira de tombeau.
Die Übersetzung, von der du gerade einen Teil zitiert hast, abe ich leider nicht, nur eine, die doch ein ganzes Stück anders klingt.